Durant les 10 années qu'il a passées aux Etats-Unis, c'est lors de balades sur les plages huppées des Hamptons, à une heure en voiture de New-York, qu'Antoine Vuillermet ressentait le plus le manque de sa Bretagne. Ce qui ui revenait en mémoire ? "des émotions olfactives" nées lors de ses villégiatures sur la presqu'île de Crozon, le quartier général de sa famille… de parfumeurs.
... Suite de l'article dans Ouest magazine n°1